Cet arrêt juge que que la création d'une vue plongeante sur la propriété qui était agrémentée d'une piscine, créait un préjudice lié à la dévalorisation en résultant et que la cour d'appel a souverainement apprécié la consistance du préjudice et le montant des dommages-intérêts d'un montant de 20 000 €.