Syndrome de Diogène : l'enfer du propriétaire

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La décision est un arrêt du 28 mars 1984 de la Cour de Cassation.
On notera que la Cour relève que les juges d’appel avaient rejeté la demande engagée à l’encontre de l’agent immobilier, en considérant que celui-ci avait « pris les précautions d’usage en se référant à la carte de visite du preneur dont les mentions lui conféraient une honorabilité certaine » et que « le fait qu’il circulât dans une automobile de luxe ne pouvait laisser présumer » les difficultés futures de paiement …
Un agent immobilier ne doit donc pas se fier aux apparences... et les vérifications faites n'étaient pas suffisantes pour la Cour de Cassation.