Si la faute est établie dès lors qu'un propriétaire a posé sur un piquet un gant de jardinage ficelé de manière à faire apparaître un seul doigt dressé et que cela est une une grossière provocation, le voisin ne justifie pas que le préjudice qu'il subit résulte d'une cause autre que "l'attention excessive qu'il porte au fond voisin" de sorte que sa demande tendant à sa suppression sous astreinte est rejetée.